Souvenir d'enfant né-mort

19 janvier 2006


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Expérience de mort imminente

05 janvier 2006




Quand le KGB assassina Tsotnié Grigorievivh Rodonaya, un dissident grégorien, l'opération fut menée avec soin
La voiture qui l'écrase roula une seconde fois sur son corp pour parachever le travail. Ce corp malmené -fracture du crâne et de la colone vertébrale- fut ensuite transporté à la morgue, et congelé en attendant l'autopsie
Trois jours plus tard, au premier coup de scalpel, Rodonaya ouvrit les yeux. Le medecin légiste les lui referma avant de poursuivre sa tâche. De nouveau, le cadavre rétif ouvrit les yeux : contre toute attente, Rodonaya était encore en vie.Stupéfiante en soi, sa survie est bien moins étonnante que ce qu'il raconta plus tard au sujet de son expérience. Alors qu'il était mort, il fut attiré dans un monde de lumière où les lois de la science n'avait plus cours : il pouvait se déplacer partout dans ce monde, voir à travers les murs, lire dans la pensée des gens, explorer le temps.Aucun médecin n'aurait pris ces propos au sérieux si Rodonaya n'avait pas rapporté des preuves concrètes : au cours de ses "voyages", il avait entendu des cris d'un nouveau-né provenant d'un hopital voisin. Grâce à sa perception accrue, il vit que l'enfant avait une fracture de la hanche, non décelé à la naissance. Dès qu'il retrouva la parole -trois jours après l'autopsie-, il informa le personnel hospitalier de l'état réel de cet enfant.Normalement, Rodoyana n'aurait même pas dû connaître cet enfant et moins encore la lésion dont il souffrait.
Une radiographie de l'enfant lui donna raison. Aujourd'hui encore, la seule explication à ce mystère reste celle fournie par Rodonaya lui-même.

Le phénomène peut-il résulter d'une sécrétion d'endorphines?. Substances proches de la morphine, naturellement sécrétées par le cerveau en période de stress, les endorphines provoquent notamment l'euphorie des coureurs de fond et masquent la douleur immédiate quand, par exemple, nous nous brisons un os dans un accident. Selon cette thèse, lorsque l'on est au seuil de la mort, les endorphines constitueraient une sons d'oreiller fourni par la Nature pour le «long sommeil».

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