un mot puissant : la foi
13 juin 2005
L’histoire s’est passé ça fait 40 ans
Dans les compagnes marocaines, les gens important d’une tribu se rassemblaient dans une tente pour discuter, alors que le « tbaili » préparait le thé. Les traditions marocaines imposent que le « tbaili » soit d’une grande réputation, expérimenté, bref un expert dans les quatre composants : thé, menthe, eau et sucre.
Un jours pendant une conférence pareil ,un grand « tbaili » a oublié de mettre du sucre,il ne se rendait compte que quand les verres sont servit .tache noir dans son CV ,une idée éclata :il s adressa aux présents :
-veuillez m’excuser messieurs, mais parmi les 43 verres servis ,par erreur un verre contient que de l’eau et du thé que j’utilise pour rincer la théière,son goût comme vous le savez messieurs est amer et en suivant notre tradition ,celui qui a ce verre doit être un homme sans foi,désigné par le destin .
Un homme sans foi : un traître, sans principe.
Et c’étais la première fois qu’un « tbaili »voyais des gens qui buvaient du thé amer dire :’que dieu te protège pour nous tabaili ....son goût sucré me rappel le miel’
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